(Cet article contient d’éventuels spoilers pour tous ceux qui n’auraient pas vu les trois saisons de la série.)
Vous savez ce que je préfère avec mes guilty pleasures – ces séries que l’on n’ose pas avouer regarder, voire apprécier ? C’est le moment soudain où, sans que l’on sache vraiment si c’est dû à la qualité intrinsèque et objective de la série ou à un changement de grille d’appréciation de notre part, ledit guilty pleasure passe de vilain petit canard à cygne majestueux, de chenille velue à splendide papillon. Et c’est exactement ce qu’il s’est passé avec la saison 3 de Banshee.
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